Oui, j’oserai le soir venu
Poser la main avec tendresse
Sur ton joli corps dévêtu
Lorsque la nuit se fait caresse.
Usant des instants de paresse
D’un peu de repos défendu
Dans tes bras ma chère maîtresse
Oui, j’oserai le soir venu.
Profitant du noir bienvenu
Sur ta peau ma jolie princesse
J’ai, dans mon désir éperdu,
Posé la main avec tendresse.
Et même si par maladresse
J’ai provoqué l’inattendu
Mille baisers viendront sans cesse
Sur ton joli corps dévêtu.
Ainsi je te suis dévolu
Ton âme vaut bien une messe
A tes lèvres je suis pendu
Lorsque la nuit se fait caresse.
Et pour que le plaisir renaisse
Je vais t’aimer en continu
Et si tu veux de ma promesse
D’un amour sans malentendu,
Oui, j’oserai …
Le voyageur bleu
Le 21 août 2007 à 15:04
Constance
Le 21 août 2007 à 17:13
BEDMINSTER
Le 22 août 2007 à 01:17
jc-blondel
Le 22 août 2007 à 13:40
c'est aussi la forme du rondeau redouble qui donne cette image a ce texte peut etre
Elena
Le 24 août 2007 à 16:56
En tous les cas, j'adhère aux autres commentaires sur la beauté de ce poème.
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