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Odyssée (suite et fin)

Publié le : 29 janvier 2008 à 21:12 par Corentin (Site web lien externe)
Catégorie : Nouvelles / Essais

Immensité.


Le nez de l’orbiteur Atlas pointe légèrement vers la Terre qui dévoile sa majestueuse courbure. Je défais ma ceinture, m’élance à travers le cockpit, libre. Je flotte. C’est géant. Mille fois mieux qu’à l’entraînement en Airbus Zero-G ou en piscine. Je me dirige aussitôt vers le sas. Je quitte péniblement ma combinaison d’intérieur pour revêtir la combinaison de sortie spatiale. Habillé, je m’attarde un instant sur mon casque gravé à mon nom et à double visière dorée anti-radiations. Je m’équipe avec mon siège de contrôle. Mon respirateur fonctionne correctement. Tout est OK. Le vide est fait dans le sas. Je tourne lentement la poignée et ouvre la lourde porte. J’arrive dans l’immense soute. L’obscurité est totale. Je lève la tête. La soute s’ouvre lentement.

Silencieusement. La lumière du jour, si pure, si blanche, si éblouissante - si spatiale -, pénètre alors le vaisseau. Devant moi apparaît Prométhée, l’un des deux atterrisseurs lunaires en test, solidement fixé, recouvert de feuilles d’or étincelantes. J’actionne les micro-fusées de mon siège spécial et je m’élance vers la sortie, bientôt toute proche. Je sors du vaisseau. Fais-toi plaisir, me lance le pilote dans mon écouteur. Je n’y manquerai pas. Me voilà dans l’espace intersidéral. Je reste là, quelques instants, à fixer la Terre en-dessous de moi. Quelle beauté, quelle gigantisme. Atlas semble aussi la regarder, le nez pointé vers l’océan d’un bleu foncé de toute beauté recouvert de masses nuageuses spiralées. Mais d’abord, Atlas. Avant de contempler plus longuement la Terre, je décide de rôder autour de mon magnifique vaisseau. Car je suis l’un des ingénieurs ayant conçu cette machine, plus particulièrement l’avionique externe – le fuselage et son comportement aérodynamique – d’Atlas, l’un des trois exemplaires conçus. Atlas est sous responsabilité européenne. Il y a aussi Wega, sous responsabilité russe, et Solaris, le shuttle américain. Je me retourne vers la gigantesque queue, tournée vers les étoiles, juste devant la Lune. Quel magnifique alignement Lune – Atlas – Terre. La taille de l’empennage, bien au-dessus du fuselage et de la soute grande ouverte, fait presque froid dans le dos. En fait, en position horizontale, elle culminerait à 30 mètres de haut. Je m’éloigne du vaisseau, sur le côté, en passant au-dessus de l’aile gauche, revêtue de lisses panneaux solaires sur plus de 250 m². Je peux ainsi voir le vaisseau dans son intégralité. Les insignes ESA, NASA et RSA sont bien visibles. Comme le nom du vaisseau. Atlas. Jolie typographie futuriste. Quel fuselage élancé, et ce joli mélange de blanc aveuglant, de noir mat et de bleu étincelant ... De toute beauté.

L’orage est passé. La furie des premiers instants enflammés où Atlas a libéré toute sa formidable puissance est terminée. Atlas n’est pas qu’une brute s’élançant vers le ciel étoilé. C’est aussi un calme et serein messager. Même si la menace reste présente. Plus diffuse. Car l’environnement reste hostile : variations quasi-instantanées de température de –200 à +200°. Vide intersidéral. Rayonnements cosmiques. Micro-météorites. Le risque est toujours là, omniprésent. Il faut juste l’accepter. Faire preuve d’humilité. L’homme n’est ici clairement pas à sa place.

Je m’élance vers la haute cime du vaisseau. Aidé de mon siège, je monte lentement le long de la queue, passant ma main gantée sur le bord d’attaque recouvert d’Inconel. Arrivé en haut, surplombant le vaisseau et la Terre, je reste époustouflé par tant de beauté. Un coup d’œil à droite, vers l’immensité intersidérale, vers les étoiles. Je me retourne. La Lune, dans toute sa blancheur immaculée. Je redescends vers les trois tuyères des moteurs Thor, d’un noir lisse et intense. Je n’ai aucun mal à m’y glisser, tant elles sont gigantesques avec leurs quatre mètres de diamètre. Je reste là, à l’intérieur, à tenter d’imaginer l’épouvantable chaleur de 3 500° qui a pu y régner. C’était il y a tout juste quelques minutes. L’enfer des flammes. Inimaginable. Tout est maintenant si calme. Je passe sous le vaisseau, voit la Terre juste au-dessous de moi. Au-dessus, l’impressionnant ventre légèrement courbé d’Atlas, qui semble veiller sur moi, fait d’Inconel d’un noir glacé, qui s’étend élégamment avec ses 50 mètres d’envergure vers l’immensité de l’espace.

Je marque une pause, prends une grande inspiration, et savoure l’instant. Dire que je suis propulsé autour de la Terre à plus de 40 000 km/h. Pourtant, Atlas reste immobile au-dessus de moi. Calme et serein. Mais si puissant. On jurerait un aigle au-dessus de sa proie. Je passe ma main sous son ventre, caressant le blindage thermique en Inconel-X-Nickel. Je repense à l’antique blindage fait de céramique des premières navettes américaines – à l’origine de nombreuses catastrophes. Pas de risques avec l’Inconel – en tout cas beaucoup moins. Car envoyer une telle machine de 350 tonnes jusqu’en orbite puis jusqu’à la Lune ne restera jamais anodin.

Je descends lentement sous le ventre qui semble ne jamais vouloir finir, vers la Terre, puis arrive juste sous le cokpit. Je remonte, passe devant les impulseurs directionnels, élégants mini-réacteurs larges de 30 centimètres, fondus dans le fuselage. Puis j’arrive juste au niveau des vitres en plexiglas blindées. Je fais signe à mes compagnons que tout va bien. Je fixe un instant Atlas du regard. On dirait que la navette veut me parler, me dire de savourer la magie de l’instant. De contempler l’immensité. Je prends impulsion sur le nez d’Atlas, et, d’un bond, m’élance en tournoyant vers la Terre, les bras écartés, comme pour m’envoler – mais c’est déjà fait. Quelle sensation exquise de liberté. A cette altitude, la Terre est déjà si loin qu’elle semble curieusement proche. Sans doute que, sur Terre, elle est tellement omniprésente qu’on ne la voit même plus. On la voit sans y penser. Mais, là … La Terre se révèle à moi.

Je tends mon bras, comme pour attraper les nuages en forme de barbe à papa. Je vois une immense tâche orangée sur l’océan Pacifique – le reflet du Soleil sur des millions de millions de kilomètres carrés ! Les continents s’étalent devant moi, majestueux. Tout est si grand et petit à la fois. Je repense à ce sentiment d’immensité que j’avais ressenti dans le désert saharien. Ce n’était rien. La vraie immensité est là. Inquiétante et insondable. La Terre dévoile enfin toute son insoupçonnable et pourtant bien connue rondeur. J’ai l’étrange impression d’être immobile, au-dessus de ce merveilleux spectacle. Pourtant, je tombe. Indéfiniment. A une vitesse vertigineuse, seulement compensée par la vitesse angulaire de la satellisation. C’est immense. J’ai presque envie de plonger. Faire le grand saut vers l’océan. C’est sidérant. Je me retourne vers Atlas, à une centaine de mètres derrière moi. Puis je jette un œil vers la Lune.


La Lune.


Solidement fixé à mon siège, je regarde la Terre par le cockpit. Les impulseurs directionnels sont allumés, devant et sur le côté, relâchant d’étonnantes traînées. On dirait de la condensation. La Terre s’éloigne lentement, puis disparaît, laissant sa place aux étoiles, puis à la Lune. D’autres impulseurs stabilisent Atlas, désormais au périgée de son orbite : 8 000 km d’altitude. C’est toujours ça de gagné. La Lune n’est ainsi plus qu’à ‘seulement’ 376 000 km. Tout est paré. Mais la procédure est terminée. Notre mission consistait seulement à tester une dernière fois le conditionnement des missions lunaires de type B. Nous sommes parés. Mais ce sera pour la prochaine fois. Sans moi. C’est déjà si magique comme ça.


Retour.


Atlas est prêt à rentrer. Nous sommes tous harnachés dans nos combinaisons orange fluo pressurisées. Après le décollage, voici la deuxième phase la plus critique de notre vol. En théorie, nous sommes à l’abri. Ce cockpit est anti-explosion et blindé thermiquement. La procédure de retour est lancée. Je suis confiant. Mais je reste conscient du danger. Nous ne sommes pas à notre place. Puisse Atlas résister. Les pilotes n’auront rien à faire, sauf dans les ultimes instants, au moment de toucher la piste. Tout est programmé. Heureusement. Car aucun homme ne pourrait faire traverser l’atmosphère à une telle machine sans la désintégrer. Il s’agit de suivre une trajectoire et de garder un cabrage presque millimétrés. Les impulseurs avant sont allumés plein gaz pour ralentir et ainsi perdre la vitesse de satellisation.

Atlas va enfin pouvoir retomber. La décélération n’est pas violente mais perceptible. Je suis progressivement projeté vers l’avant. Lentement, je vois la Terre apparaître devant Atlas qui pique du nez. Mais, très vite, le vaisseau se cabre et la Terre redisparaît. Mon corps se lance plus en avant. Les sangles me retiennent plus fortement. Le vaisseau se frotte aux couches denses de l’atmosphère pour dissiper sa formidable énergie cinétique. Il s’agit de passer de 40 000 km/h dans l’espace à 360 km/h sur la piste en moins d’une demi-heure.

Une douce lumière rouge orangé commence à illuminer l’intérieur de la cabine. Le plasma. L’atmosphère est tellement échauffée qu’elle est ionisée. Les électrons de l’air sont si énergisés qu’ils sont éjectés de leur orbite protonique. A cette vitesse, l’atmosphère, même raréfiée, porte le ventre d’Atlas à plus de 2 000 dgrés. Le blindage en Inconel est là pour nous protéger. Sans lui, Atlas serait disloqué en quelques instants.

La cabine commence à trembler. Un peu. Puis très franchement. Ma tête est ballottée dans mon casque pourtant bien fixé. Je suis maintenant clairement projeté en avant. Je comprends enfin pourquoi on est allé jusqu’à attacher nos jambes et nos bras. Ligoté comme un forcené. Comme un condamné.

La température dans la cabine est violemment remontée et avoisine maintenant les 35 degrés. Le plasma, d’abord subtil, enveloppe désormais toute la cabine d’un magnifique halo orangé diffusant une évanescente lumière éthérée. Du gaz à plus de 2 000 degrés. Tout le blindage en Inconel du ventre du vaisseau est porté au rouge puis chauffé à blanc. La moindre fissure dans le blindage serait fatale. Heureusement, l’Inconel est aussi souple et résistant que l’acier. Nous ne sommes plus qu’à 60 km d’altitude. La température de la cabine avoisine maintenant les 40°. Je sue à grosses gouttes et subis les turbulences et la décélération, tel un pantin désarticulé. Notre vitesse est encore de plus de 20 000 km/h. La voilure encaisse la pression de l’air, l’extrémité des ailes delta se voit alors élevée de presque un mètre. La coque du vaisseau n’a pas cette élasticité et doit absolument se maintenir malgré la terrible force de l’atmosphère. Les trains d’atterrissage, bien à l’abris derrière leurs panneaux en Inconel, sont auscultés par les capteurs et doivent être correctement pressurisés en vue de l’atterrissage. Les vérins hydrauliques, assistés de charges explosives de secours, se tiennent prêt à les déployer vers la piste. La traînée du vaisseau est telle qu’Atlas laisse derrière sa position une gigantesque queue de plasma et de condensation de plusieurs dizaines de kilomètres de long visible depuis la Terre.


Le grand saut.


Le plasma continue à nous envelopper. Tout le monde est secoué. Plus que quelques minutes à tenir dans cette fournaise insensée. Le purgatoire réinventé. Une ombre. Un hurlement. Des bris de verre. Du sang. Mes sangles se tendent violemment. Dépressurisation. Je suis projeté vers l’avant. Ejection. Ecrasé vers le bas avec une violence inouïe. Des sangles qui claquent. Un corps qui vole vers l’avant et passe à travers le plexiglas brisé. Emergency. Un siège qui se penche anormalement, puis est arraché du sol, s’en va percuter le tableau de commande et finit de pulvériser la verrière du cockpit pour s’en aller dériver et brûler dans l’espace.

Brusquement, un autre siège disparaît vers l’arrière. Mes sangles et mon siège tiennent bon. Des hurlements. Tout ça en une demi-seconde. Tout semble tourner au ralenti. L’accident tant redouté. Je tourne brièvement la tête vers l’arrière, aperçoit un trou aux bords défoncés de 40 centimètres de diamètre à mi-hauteur de la cloison. Au-delà, le plasma. L’autre siège, avec son occupant, a du être disloqué et broyé pour passer au travers. Les sangles se relâchent. Le vide est fait. Fin de l’aspiration. Nous sommes à la dérive, dans l’espace. Notre cabine s’est désolidarisée par éjection du reste du vaisseau et retombe vers la Terre. Seule. Transpercée de part en part par une micro-météorite. Atlas doit déjà être consumé.

Sous le choc, et sans la cabine, Atlas, déséquilibré, a dû commencer à basculer. Très vite, son blindage thermique déjà transpercé a été contourné. Le reste de carburant en explosant a achevé la machine blessée. Vu de la Terre, le terrible accident se résume sans doute à une traînée anormalement lumineuse en train de se disperser, avant de clairement exploser. Nous ne sommes pas tout puissants. La Nature bravée et défiée reprend toujours ses droits. Sa violence ne pardonne pas. Notre arrogance ne fait pas le poids. Je sens que nous basculons lentement vers l’arrière. Le plasma commence à s’infiltrer dans la cabine malmenée et tout à son contact est carbonisé. Mais nous avons tellement perdu en masse et donc en énergie cinétique que la friction de l’air s’est grandement diminuée. Reste que l’habitacle est dévoré par le feu.

Je me dessangle, progresse lentement et difficilement à cause des turbulences et autres vibrations vers l’avant du cockpit sans vitre tourné vers l’espace. La Lune. Pour un dernier adieu ? Je regarde le copilote, lui fait signe que ça va. Nous regardons les flammes gagner la cabine. Surtout ne pas tomber. La température devient insoutenable. Combien de temps à tenir ? Nous restons ainsi, prostrés, pendant une durée qui semble être l’éternité. La nature semble se déchaîner. Mais nous l’avons provoquée. Le feu monte, inéluctablement, venant chercher ses ultimes proies qui osent encore le défier. Je suis le plus exposé. Ma combinaison est touchée au niveau du buste. Les flammes lèchent mon casque. Des hurlements me percent les tympans. Je tente de rester calme. Mais la température devient vite insupportable. Mon scaphandre censément ignifugé commence à noircir. Ca brûle. Mon torse me brûle. Mon visage me brûle. C’est atroce. Je hurle. Je brûle. Une infâme odeur de cramé. Puis, miraculeusement, les flammes commencent à se calmer et, très vite, elles se retirent. L’orage est passé.

Je reste, là, tétanisé. Carbonisé. Je peine à respirer. Miraculé, ou condamné à s’écraser ? Ma combinaison ne semble pas percée mais j’ai dégusté. Je dois être totalement brûlé. Les hurlements cessent. Un trou béant apparaît au fond de la cabine. Je vois la Terre, le continent sud-américain, voilé par les masses nuageuses enroulées. Je devine une vaste étendue verdâtre. L’Amazonie. Un courant d’air ultra violent parcourt la cabine en virevoltant. Nous sommes secoués dans tous les sens. Difficile de se tenir. La cabine doit être totalement flinguée. Plus question de se poser ainsi. Le système de récupération doit être HS. Il faut sauter. Je hurle aux autres qu’il faut sauter. Je leur fais signe de la tête. Ils me regardent tous, horrifiés. Je dois être complètement défiguré. De toutes façons je sens que je vais y rester.

Je prends une grande inspiration, puis lâche ma rambarde de fortune et fais le grand saut vers la surface terrestre. Très vite, me voilà libre, chutant dans l’air, au-dessus de l’Amazonie. C’est grandiose. Finies les flammes. Oubliées les incessantes turbulences. Je ne sens plus mes brûlures. Je sais que je suis blessé mais je ne sens plus rien, si ce n’est une douce euphorie. Je me retourne sur le dos, maladroitement, et voit la cabine s’éloigner lentement. Forcément. Très freinée, elle tombe moins vite que moi. Des points orange dansent au-dessus de moi. Des disques fluos s’ouvrent brusquement. Les autres. Sauvés. Serein, je me retourne vers la surface dont les détails se révèlent rapidement. Je dois encore être à 20 km. C’est géant.

Je regarde un bref instant mon équipement. Je n’en ai plus. Les sangles de mon parachute ont dû brûler et le tout s’est arraché lorsque j’ai sauté. De toutes façons je savais que je devais y rester. Je voulais y rester. Ce sera la plus belle façon de mourir. Une chute libre, depuis l’espace, depuis la Lune. Depuis un autre monde. Depuis l’infini. Je tombe ainsi pendant de longs instants. C’est si reposant. Le sol. Tout prêt. La forêt. En finir. Je porte mes mains à mon casque, le fait pivoter, puis je l’envoie voler. Je veux respirer. Une dernière fois. Avant de m’écraser. Je ferme les yeux. Avant de succomber.







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Lecteur de passage (Yann)

Le 29 janvier 2008 à 21:41

C'est vraiment bien écrit.J'avais l'impression de le faire moi ce voyage dans l'espace.

Je suppose qu'il a fallu que tu te documentes sur la question parce que ça a l'air très pointu comme récit.Tout n'est pas sorti de ton imagination,si?
Remonter au texte | #747

Avatar de Corentin

Corentin

Le 29 janvier 2008 à 22:21

Content que ça t'ait plu :)

Je suis passioné par l'aérospatial, j'ai donc une solide connaissance de la technologie qui va avec.

La machine décrite ici est une extrapolation très réaliste - mais ambitieuse - de ce que l'on pourrait faire en remplacement de l'actuelle navette spatiale. Mais ça n'est pas prêt d'arriver... :(
Remonter au texte | #749

Avatar de Valentin

Valentin

Le 31 janvier 2008 à 10:09

J'avais lu tes autres nouvelles,celle-ci me paraît la plus aboutie et la mieux structurée.
D'accord elle se termine mal et encore pas tant que ça tout compte fait parce que cet homme vit sa passion jusqu'au bout.
Remonter au texte | #750

Lecteur de passage (apollo)

Le 03 février 2008 à 14:12

Comme toi,je suis passionné par l'espace.
Tu nous a permis de vivre un voyage en navette spatiale.
Ca n'arrive pas tous les jours.Fascinant comme expérience!
Remonter au texte | #751

Lecteur de passage (Rene Max)

Le 05 février 2008 à 06:39

Bonjour Voici un texte trés bien écrit. Il nous porte et nous impose son suspens jusqu'au bout. Bravo.;)
Remonter au texte | #753


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