Il revient à ma memoire des photos flashs, des odeurs, des couleurs. Tu ne m'as laissé à l'esprit que les traces d'un passage furtif. Du chemin de la vie, tu ne m'as rien appris, si ce n'est un jeu, celui du jeu des galets que l'on fait ricocher sur l'eau.
Depuis ton départ, mon âme est à la dérive. Cette route, je l'ai parcourue seule jusqu'à aujourd'hui. Et si j'ai dû prendre des chemins de traverse pour y arriver, je ne peux pas dire que cela soit grâce à toi.
Peut-être te rencontrerai-je sur la route du paradis, mais s'il te plait sois gentil, si tu m'aperçois, change de trottoir !
Constance
Le 22 février 2008 à 14:03
Tu donnes trop peu d'informations pour que le lecteur puisse s'intéresser à ce que tu écris. C'est dommage.
J'espère que tu ne prendras pas mal ces quelques remarques
florina
Le 22 février 2008 à 16:23
Constance
Le 22 février 2008 à 18:40
Comme tu l'as dit, ce site est un endroit d'échanges et de partages et cela implique forcément que tu auras à te frotter à des critiques qui seront parfois bien plus sévères que la mienne.
N'y vois rien de personnel et surtout, continue à écrire si tu y prends du plaisir.
Amitiés
Marc-Aurèle
Le 23 février 2008 à 13:22
Je me promène sur le site et j'ai voulu voir ce que tu écrivais!
Il est vrai que l'exercice de l'écriture est difficile et que la qualité de ce que l'on écrit arrive si l'on le travaille. Cela nécessite du temps et de la patience.
J'ai trouvé ton jet destabilisant, dans le bon sens du terme.
Il y a des jolis mots "ricocher; passage furtif". Tu devrais essayer d' exposer une meillleure peinture de tes sentiments.
Mais j'applaudis tout ceux qui s'ouvrent au monde des mots. Alors, à très bientôt avec un nouvel essai.
Mes amitiés, Marc-Aurèle.
florina
Le 23 février 2008 à 15:42
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