Soliloque
Parquet dépourvu d'habit
Déchu déchet
De conversation avec la vie
Insolvable soldat
Flotte frotte le ciel
De ses mots solitude
Dont les restes solvants
Brûlent l'ozone des jours passés
Incapable mur aux rebonds
Revêtus de coutume
Ses larmes là dessus la terre en tas de mues
Aphones et pauvres
Qui courait à la rue
Comme on chantait à la ruine
De chaque penny d'odeur récurée
Jusqu'à la gloire consommée de la beauté
Qui courait et pourrait encore
Pleurer ses drames au néant de la fontaine
Suppliant que ses que s'élèvent
De si profondes élégies
Au jardin enfin au jardin de Lui
Et sale de sa destinée trop accomplie
Désespéré de sa propre lumière
S'avance étrangement serein
Vers l'impensable
Vers l'esprit de Lui
Un désir je crois étoile sa voix
Il ne peut résider que laideur au puits de nos cœurs.
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