Souvent je pense
A cette femme
Qui me frôle et danse
Près de mon âme
Son regard est sombre
Et beau et grave, j’y vois
Passer des ombres
Des vagues, des émois
De son cœur, pareil en clarté
A la lumière du ciel
Pulsent des étincelles
Qui embrasent ses cahiers
Sa bouche est un brasier
Vif et rouge et tendre
Son baiser, je passerai
Ma vie à l’attendre
Souvent je pense
A cette femme
Qui m’émeut et danse
Près de mon âme
Lecteur de passage (Raphy)
Le 14 mars 2009 à 15:32
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