Quand dans les volutes bleutées des brumes de l’incompréhension
Naissent et sont révélées quelques dérangeantes questions,
Lorsque le cœur se serre à vous en étouffer
Lorsque les larmes montent et veulent déborder,
Quand le sourire se fige et s’étire de tristesse,
Au moment même où on a besoin de tendresse,
Quand un Amour vacille et tangue sous la douleur
Le jour alors étire sa langueur
Au fond de votre gorge s’installe un nœud marin
Emprisonnant les mots qui ne disent plus rien,
La nuit tombe en douceur et pourtant si brutale
Une mélancolie insidieuse s’installe,
Soleil, où donc pars-tu mourir,
J’ai tant besoin de toi qui seul peut me guérir,
Mes bras gourds se referment sur la solitude,
J’ai mal et pas envie, d’en faire une habitude…
Lecteur de passage (Karine)
Le 14 février 2010 à 15:17
Agnès Chêne
Le 16 février 2010 à 12:05
Merci
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