Parce qu'un rossignol près de moi s'est posé
Et de son chant m'a invitée
A l'aube je me suis levée
Le soleil pointait derrière la colline
Et ses rayons pareils à la douce opaline
Venaient me réchauffer et emplissaient mes yeux
Que je devais fermer pour les regarder mieux
Les troupeaux s'en allaient paître dessus les pentes
Et leurs naseaux fumants humaient l'herbe des sentes
Le chien sautait devant puis revenait derrière
Où la bête attardée buvait dedans l'ornière.
J'aimerai toujours l'aube
La nature qui s'éveille
Eternelle beauté sans artifice aucun
Richesse de tous les hommes
Car tu es à chacun
Pour t'avoir il suffit
De se lever matin !
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